Un choix de documentaires visibles sur Tenk, en lien avec les films projetés dans le cadre du Mois du doc 2025.
Le fils
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Sur le thème de l'enfance :

Los niños, de Maite Alberdi :
Un petit groupe d’adultes trisomiques, Anita, Rita, Ricardo et Andrés fréquente la même école au Chili depuis 40 ans. Ils travaillent dans l’atelier de pâtisserie de l’établissement. Âgés de plus de 40 ans, ils rêvent de vivre comme tout le monde, de gagner de l’argent, de se marier, de fonder une famille, d’être autonomes et ne plus être considérés comme des enfants.

Puisque nous sommes nés, de Jean-Pierre Duret, Andrea Santana :
Brésil. Nordeste. État du Pernambouc. Une immense station-service au milieu d’une terre brûlée, traversée par une route sans fin. Cocada et Nego, 14 et 13 ans, s’interrogent sur leur identité et leur avenir.
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François Mauriac
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Sur le thème de l'artiste :

Ceux de chez nous, de Frédéric Rossif, Sacha Guitry :
En 1915, en réaction à un manifeste allemand exaltant la culture germanique, Sacha Guitry a immortalisé les plus grands artistes français de son temps. Auguste Rodin, Edmond Rostand, Edgar Degas, Claude Monet, Sarah Bernhardt, maître Henri-Robert, Camille Saint-Saëns, Octave Mirbeau, Anatole France, Auguste Renoir… En 1952, Guitry commente la version originale muette et l’augmente d’un préambule et d’intermèdes sur les artistes, filmés dans son bureau par Frédéric Rossif.

Faire kiffer les anges, de Jean-Pierre Thorn :
Dans les années 80, du Bronx aux Minguettes, dans les souterrains des villes et leurs banlieues, un mouvement artistique et rebelle s’impose : le « Mouv’ Hip Hop » qui, à travers graffs, rap et danse permet à toute une jeunesse exclue de dire : « J’existe ! ».
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Ceci est mon corps
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Sur le thème de l'enquête :

Trois soldats allemands, de François Caillat :
À partir d’un fait divers – l’exhumation, dans un jardin, d’un cadavre de soldat inconnu – ce film révèle une histoire complexe et mouvementée qui s’est déroulée en Lorraine pendant cent ans. On y croise des destins confus, des morts violentes et des exils. On entend parler de familles déchirées, de frontières indécises et de patries changeantes. On découvre le tourbillon du 20e siècle dans le spectre des guerres franco-allemandes, et les derniers soubresauts de la nation française avant qu’elle se fonde dans une identité européenne. Une enquête romanesque, un regard personnel sur l’Histoire et la mémoire des lieux.

8 Sekunden, de Jean-Marie Vinclair :
« Lorsqu’en 2005, l’inscription “Raymond Vinclair” fut dévoilée sur une place qui devait porter son nom, une énigme se posa. Pourquoi n’avais-je jamais entendu parler de ce frère de mon grand-père, mort en martyr en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale ? Quelques années plus tard, marié à une Allemande et père de famille, la figure de Raymond réapparaît, et avec elle, le spectre d’un passé toujours présent. Avec ma femme et mes enfants, nous partons à la recherche de cette mémoire perdue ». Jean-Marie Vinclair Une enquête documentaire sur la transmission et ses aléas, qui dit beaucoup sur la France !
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Le Veilleur
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Sur le thème de la famille :

Last call, de Noah Cohen :
« Fin de l’an 2000 à New York, mon père Michel Cohen cumule vingt-quatre chefs d’accusation pour fraude et encourt trente ans de prison, il part en cavale avec ma mère, ma sœur et moi. Vingt ans plus tard je raconte notre histoire ».

El cielo es muy bonito, de Aracely Méndez :
Un refuge dans le sud du Mexique offre un espace sûr pour les femmes et leurs enfants, migrantes et réfugiées. Leur expérience de la migration est marquée par des points de vue différents et les diverses implications qu’elle a sur leur vie. El cielo es muy bonito explore le contraste entre la peur d’un avenir incertain, les désirs d’une mère et la joie et les rêves de ses filles.
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Rebels don’t know age
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Sur le thème du sport et de la maladie :

Niveau zéro, de Cecilia de Arce :
Un film pour les faibles, les lent·es, les pas flexibles, les fragiles, les douillet·tes et les trop prudent·es. Pour les habitué·es des points de côté, les abonné·es aux cuisses qui frottent, à la sueur qui brouille la vue, à la peau rougeaude ou au teint livide, au souffle court et aux hauts-le-cœur. Pour celles et ceux qui n’ont pas envie de gagner, qui aimeraient bien mais à qui ça n’arrivera jamais, qui en ont marre de se comparer ou qui ne peuvent pas s’en empêcher.

Fais le mort !, de Matthew Lancit :
Matthew Lancit a consigné dans un journal filmé son corps à corps avec une maladie dont il est atteint depuis l’adolescence : le diabète. Mais ce récit du quotidien est petit à petit contaminé par sa propre imagination des futurs possibles : représentations fantasmagoriques et burlesques du diabète et de ses effets sur le corps. Progressivement, ce qui commençait comme un film de famille empreint de nostalgie est envahi par une imagerie fantasque tout droit sortie d’un film d’horreur.
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Atlas Oculto
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Sur le thème de la mémoire :

Une simple parole, de Khady Sylla, Mariama Sylla Faye :
« Dans notre famille, l’une des dernières gardiennes de la généalogie, est notre grand-mère Penda Diogo Sarr. Elle connaît les hauts faits des ancêtres et les précieux noms de la lignée (…). Elle est venue chez nous durant l’agonie de notre mère et des liens privilégiés se sont noués entre nous. Elle a commencé à nous transmettre la parole dans cette période si obscure de la vie. Cette parole est menacée. Dans la famille, nous sommes la deuxième génération de l’écriture. Qui va continuer à chanter la lignée ? Pour lutter contre l’anéantissement de cette parole ancestrale, nous avons décidé de passer de la tradition orale à la tradition filmée. » Khady Sylla et Mariama Sylla Faye

Le cousin Jules, de Dominique Benicheti :
Dans la campagne bourguignonne vit un couple d’octogénaires. Jules, né en 1891, est forgeron, il passe ses journées à créer des objets en fer. Sa femme, Félicie, s’occupe du potager, prépare les repas, partage avec lui le café du matin dans la forge. Prix spécial du jury au festival de Locarno en 1973, Le Cousin Jules a été récemment redécouvert à la faveur d’une très belle restauration.
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